Consignes aux auteur·e·s

Présentation de la revue

Revue d’Histoire Contemporaine de l’Afrique (RHCA), revue bi-annuelle, entend s’intéresser aux faits plus ou moins récents qui expliquent le présent du continent. Elle entend penser de manière critique certains mécanismes – économiques, politiques, sociaux et culturels, en s’affranchissant des idées reçues, en termes de périodisation de l’histoire de l’Afrique notamment. La Revue d’Histoire Contemporaine de l’Afrique souhaite avant tout publier des articles valorisant une approche historique. Le dénominateur commun de cette revue est donc l’étude des faits du passé. Toutefois, la revue reste ouverte au dialogue avec d’autres disciplines des Sciences humaines et sociales (SHS).

RHCA est un lieu de publication d’articles en français, mais aussi de rencontres et d’échanges entre historien·ne·s de l’Afrique, quelque soit leur lieu de résidence (Afrique, Europe, Amérique du Nord). Les publications permettront à la fois de rendre compte des recherches en histoire de l’Afrique de chercheur·e·s francophones, et de traduire des travaux de chercheur·e·s non francophones sur des espaces du continent souvent peu accessibles dans la littérature en français (Afrique anglophone, lusophone, hispanophone). Enfin, la revue revendique le fait d’être une revue accessible, publiant en flux continu et entièrement en libre accès (open access). Cette démarche est guidée par la volonté de faciliter le processus de publication et de rendre accessible au plus grand nombre, et en particulier sur le continent africain, les résultats des recherches historiques en cours.

Soumission d’un article

Les textes soumis pour publication à la RHCA (que ce soit dans le cadre d’un numéro spécial ou pour les rubriques de la revue) doivent être des travaux inédits. Ils sont évalués en double aveugle par des historien·ne·s sollicité·e·s par le comité de la revue pour leurs compétences sur le sujet. En cas de double évaluation négative, l'article sera refusé.

Le non-respect des consignes bloque tout processus d’évaluation. L’article peut donc être refusé tant qu’il n’intègre pas les normes de la revue.

Consignes aux auteur·e·s

ORCID

La revue encourage les auteur.e.s à signaler leur identifiant ORCID et à le joindre systématiquement à leurs contributions (page d'information sur la création d'un ORCID).

Présentation de l’article

  • Un titre avec la traduction de ce titre en anglais
  • Une signature à la fin de l'article, comportant le nom de l’auteur et son affiliation institutionnelle et le pays
  • Un résumé de 150 mots maximum (espaces compris) en français et en anglais
  • Cinq à six mots-clés en français et en anglais ne reprenant pas les mots du titres

Taille de l’article

  • Pour les articles des numéros spéciaux et Varias : 40 000 à 55 000 signes (espaces et notes de bas de pages inclus, sans bibliographie)
  • Pour les articles de la rubrique « carnet de terrain » : jusqu’à 30 000 signes (espaces et notes de bas de pages inclus, sans bibliographie)

Normes de présentation

Le texte doit être présenté de manière simple :

  • Texte justifié, police Times New Roman 12 pour le corps du texte et Times New Roman 10 pour les notes de bas de pages
  • Interligne simple, sans retrait de paragraphe, sans feuille de style particulière (style « Normal »), aucune césure de mot. Sont à éviter les caractères gras, soulignés, et les sauts de page.
  • Le texte comporte des titres et sous-titres apparents (1 niveau de sous-titre maximum) pour faciliter la lecture, en gras pour les titres, en italique pour les sous-titres.

Références bibliographiques

Les références bibliographiques sont intégrées en note de bas de page et une bibliographie finale apparaît en fin de document. Les sources primaires (archives, lien web, rapport, références de séminaires, etc.) n'apparaissent qu'en note de bas de pages et non à la fin du texte.

Les noms des auteur·trice·s apparaissent en petites majuscules dans la bibliographie finale (et non dans les notes de bas de pages).

Si vous utilisez le logiciel Zotero, veillez à cliquer sur l’option « rompre le lien avec Zotero » avant l’envoi de l’article.

Par convention on ne place jamais d’appel de note dans les titres et sous-titres.

Les sources (archives et entretiens) n'apparaissent qu'en note de bas de page.

  • Fond d’archives : Archives Nationales du Sénégal (ANS), K321(26), Rapport politique du cercle de Casamance, 26 avril 1930.
  • Ouvrage en anglais : Miescher Stephan (2005), Making Men in Ghana, Bloomington, Indiana University Press.
  • Ouvrage en français : Sow Alfa Ibrahim (1978), Les structures anthropologiques de la folie en Afrique Noire, Paris, Payot.
  • Article de presse : Babacar Sarr, « Le problème de la jeunesse en Afrique », Dakar-Soir, 23 janvier 1978.
  • Article publié dans une revue : Beek Jan (2010), « Étiqueter les “déviants” : le travail des policiers au Nord-Ghana », Déviance et Société, 34(2), pp. 279-290.
  • Chapitre dans un ouvrage collectif : Beek Jan (2012), « Étiqueter les “déviants” : le travail des policiers au Nord-Ghana », in J. Beek et B. Jan (dir.), Déviances et sociétés en Afrique, Paris, L’Harmattan, pp. 49-76.
  • Travail universitaire (mémoire, thèse, etc.) : Mubashankwaya Michel (1971), « Le Rwanda depuis 1959. Évolution politique, économique et sociale », thèse, Université de Provence.
  • Source web : Auteur, « titre », Journal, date. En ligne, consulté le DATE. URL : lien web
  • Les références déjà citées seront notées :
    •  pour les articles dans une revue : Beek J., « Étiqueter les “déviants” », art. cité, p. 80.
    • pour les chapitres d’ouvrage : Beek J., « Étiqueter les “déviants” », art. cité, p. 80.
    • pour les ouvrages : Miescher S., Making Men…, op. cit., p. 89.

NB : art. cité en romain ; op. cit. en italique

Appel de note et citations

Les citations de plus de 3 lignes apparaissent en paragraphe distinct, police 11 avec un retrait. L'appel de note se place au plus près du mot et avant la ponctuation finale.

  • Pour l’appel de note en présence de guillemets :
    • S’il s’agit d’une phrase entière entre guillemet, la ponctuation finale se met à l’intérieur des guillemets et l’appel de note se place au plus près du mot. Par ex : « ceci est un exemple2. »
    • S’il s’agit que d’une portion de phrase, la ponctuation se place hors des guillemets. Par ex : Ceci est un « autre exemple2 ».

Images, tableaux et graphiques

Veuillez indiquer leur place dans le texte, leur légende, et les transmettre à la rédaction accompagnée de l’autorisation de reproduction des ayants droit le cas échéant.

Quelques règles typographiques

  • Les citations de moins de 4 lignes doivent être mises entre guillemets et sans italique. Les citations de plus de quatre lignes sont mises en retrait, en interligne simple, taille 11, sans guillemets.
  • Pour les citations en retrait l’appel de note se fait après la ponctuation.
  • Les mots étrangers sont à mettre en italique et sans guillemets, exceptées les citations en langue étrangère qui sont à la fois en italique et entre guillemets.
  • Pour les citations traduites, mentionner en note de bas de page "traduction personnelle de l'auteur·trice"
  • Les siècles sont indiqués en chiffres romains et en petites capitales, avec le « e » qui suit le siècle en exposant. Ex. : XXe siècle.
  • Les majuscules doivent porter l’accent s’il y a lieu, ex. : Église, État, Être.
  • Les nombres sont indiqués en toutes lettres d’un à quinze, pour les dizaines (vingt, trente…) et les centaines (cent, deux cents…).  Pour tous les autres, on utilise les chiffres arabes (16, 21, 101), ainsi que pour les pourcentages (1 %).
  • Lorsqu’ils se prononcent, les sigles s’écrivent avec une majuscule uniquement sur la première lettre (Unesco, Unita, etc.).